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« Y'a pas de réseau » : une comédie familiale très explosive avec Gérard Jugnot et Maxime Gasteuil
« Y'a pas de réseau » : une comédie familiale très explosive avec Gérard Jugnot et Maxime Gasteuil

Le Parisien

time7 days ago

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« Y'a pas de réseau » : une comédie familiale très explosive avec Gérard Jugnot et Maxime Gasteuil

« Si les deux débiles viennent ici, on va bien les recevoir, comme dans Maman j'ai raté l'avion ! ». L'œil brillant, le sourire en coin et le ton déterminé, Gabi a déjà plus d'une idée en tête pour accueillir comme il se doit ces deux malfrats lancés à sa poursuite depuis qu'elle les a surpris, en compagnie de Jonas, à détruire une antenne-relais. En vacances dans ce coin reculé des Pyrénées avec leurs parents - partis, eux, à leur recherche - les deux gamins de 9 et 11 ans piègent leur maison de villégiature pour se défendre des assauts répétés des deux affreux, sales et méchants. Attention, ça va faire mal ! La référence au film « Maman j'ai raté l'avion » est évidente et assumée par Édouard Pluvieux qui signe avec « Y'a pas de réseau », présenté lors du dernier festival de l'Alpe d'Huez, un film pour le jeune public déjanté, un petit délire porté par un tandem de vilains truculents formé par Gérard Jugnot et l'humoriste Maxime Gasteuil, père et fils, le second plus neuneu que le premier, pas très affûté non plus… Deux gredins façon pieds nickelés du crime qui vont en voir de toutes couleurs. Sympa, le film tire sur le burlesque et le cartoon, usant du slapstick – littéralement bâton pour frapper, comme ceux d'Arlequin et de Guignol, comique physique impliquant une part de violence physique volontairement exagérée – avec ses cascades et chutes improbables et en temps normal très dommageables, ainsi que des grimaces de six pieds de long. On tombe, on se relève, on se prend un coup de massue, on se relève… etc. La mise en place manque un peu de nervosité et certains curseurs auraient pu être poussés plus avant, mais l'association Jugnot et Gasteuil est détonante et leurs personnages de nigauds salauds savoureux. Face à eux, le duo de gamins aux manettes de ce jeu de destruction, tient plutôt la route. On apprécie encore le savoureux Bernard Farcy en capitaine de gendarmerie déjanté ainsi que Zabou Breitman, propriétaire perchée. Une petite folie sans prétention sinon amuser dès 6 ans. Et paf dans le pif ! La note de la rédaction : 3 /5 « Y'a pas de réseau », film d'Édouard Pluvieux avec Gérard Jugnot, Maxime Gasteuil, Julien Pestel, Manon Azem, Roxane Barazzuol, Roman Angel. 1h20.

« Quel con ! » : très ému, Gérard Jugnot revient sur la disparition de Michel Blanc qui l'a laissé « un petit peu » orphelin
« Quel con ! » : très ému, Gérard Jugnot revient sur la disparition de Michel Blanc qui l'a laissé « un petit peu » orphelin

Le Parisien

time13-07-2025

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« Quel con ! » : très ému, Gérard Jugnot revient sur la disparition de Michel Blanc qui l'a laissé « un petit peu » orphelin

Neuf mois plus tard, l'émotion est encore vive. L'acteur Gérard Jugnot est revenu sur la mort de son ami Michel Blanc à l'occasion d'un entretien accordé à l'émission « 50″ inside », diffusée ce samedi 12 juillet sur TF1. La troupe du Splendid a en effet perdu l'un de ses membres en octobre, avec le décès du comédien de 72 ans , victime d'un choc anaphylactique et un œdème de Quincke en marge d'un examen médical. Très vite, Gérard Jugnot avait pris la parole sur Instagram en publiant un court message : « Putain, Michel… Qu'est-ce que tu nous as fait… » Il a accepté de revenir sur la disparition brutale de son ami lors d'un entretien avec Isabelle Ithurburu . À peine son nom avait-il été prononcé par la journaliste que Gérard Jugnot a laissé échapper un « Quel con ! », empreint d'émotion. « Michel avait un sens du dialogue formidable. Il a toujours été un peu à part. Il avait vraiment besoin de sa bulle, de son univers. C'était un râleur, il se plaignait tout le temps », a-t-il tout de même plaisanté, avant de confier un émouvant souvenir avec celui qui incarnait Jean-Claude Dusse . « La dernière fois que je l'ai vu ici (au théâtre du Splendid) , on faisait les photos pour Paris Match , il nous a cassé les cou***** parce qu'il avait mal aux pieds ou je ne sais quoi, s'est remémoré Gérard Jugnot. Et puis au bout de 5 minutes, on s'est éclaté, on a rigolé, il a dit plein de conneries… C'était génial. C'était quelqu'un qui râlait dès le départ ». Interrogé à savoir s'il se sentait un peu « orphelin » depuis la mort de son ami, le comédien de 74 ans est resté très pudique : « Un petit peu », a-t-il lâché du bout des lèvres à Isabelle Ithurburu, les yeux embués et rougis par l'émotion. Avec pour ingrédient magique, « la dérision », les membres du Splendid ont toujours su rester unis au travers des décennies : « On est très très différents, on ne pense pas du tout la même chose sur plein de sujets, mais on avait un dénominateur commun qui était la dérision, l'observation des gens, le fait de se moquer un peu de nos parents, des gens plus âgés, ou des cons… Ou de nous-mêmes ! » a insisté l'interprète de Bernard dans « Les Bronzés » . « On ne s'est jamais engueulés. Sur scène, il n'y a jamais eu de problème de tirage de couverture. Dès qu'il y avait un sujet qui fâche, on l'évitait », a-t-il tout de même reconnu.

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